Duncan CLARKE


Né en Angleterre en n 1959, à l’âge de 10 ans, il souffre d’une dépression qui va le conduire à ses débuts de peintre. Il peindra pendant 6 années puis s’interrompra. A ses 38 ans, il éprouve un besoin de tout plaquer et de recommencer sa vie et décide de s’installer en France ou il reprendra la peinture. Pour lui, la peinture deviendra alors sa planche de salut et un moyen de s’échapper pour mieux se retrouver.

  "Je me suis tout de suite passionné pour les paysages et en particulier les peintures marines. J’ai toujours été très influencé par les Impressionnistes et les Fauvistes. Ma peinture est une expression de mon âme que j’aime pouvoir partager avec les gens de sorte qu’elle soit comprise ou non par celui ou celle qui la regarde. Mes Maîtres sont Van Gogh, Manet, Matisse, et Gauguin pour leur esprit révolutionnaire parce que je me pose de plus en plus de questions sur le vrai sens des valeurs de la vie et sur tout ce que je vois autour de moi, l’écologie, la société de consommation, la mondialisation, l’injustice sociale. Dans l’impressionnisme, j’aime l’idée qu’il faille prendre un peu de recul par rapport à la Toile pour pouvoir l’apprécier et mieux la comprendre.“

 
 “Toutes mes peintures sont faites sur place car il m’importe avant tout de pouvoir capter la véritable ambiance afin de pouvoir mieux l’exprimer dans mes tableaux. Quand je peins, j’aime à observer les réactions parfois très émouvantes des passants et surtout des enfants : « Ho c’est bôooo Monsieur ! ».  J’ai commencé à peindre des marines en Normandie, après avoir passé plusieurs étés dans le charmant petit port d’Honfleur. Mon tableau préféré est « Etretat », une image simple saisissant un chaud soleil de fin de journée glissant sur les falaises et sur l'église. Puis j’ai tenté de percer le mystère des reflets dans l'eau que je suis parti chercher à Antibes, Marseille, la Rochelle, en Italie et en Espagne.“
 
 “La femme fait aussi partie de mon univers artistique, sa beauté naturelle, sa personnalité, les lignes de ses courbes des épaules à sa taille, le relief de son dos, le détail de ses pieds sont pour moi une grande source d’inspiration. J'utilise plutôtl'huile pour les modèles car la lenteur du séchage favorise le mélange et la transition des couleurs si importantes pour le portrait et j’emploie l’acrylique pour les paysages. J’aime que les contrastes générés par la lumière naturelle soient forts.“